"Mon Fils, Tu Auras un Foyer. Mais S'il Te Plaît, Prends Soin de Ta Sœur Malade" : Murmura la Mère

« Mon Fils, Tu Auras un Foyer. Mais S’il Te Plaît, Prends Soin de Ta Sœur Malade » : Murmura la Mère

« Écoute-moi, mon fils… » murmura la mère. Chaque mot était une lutte. La maladie drainait lentement sa vie. Elle était allongée dans son lit, émaciée. Pour Michel, elle semblait n’être plus que l’ombre de la femme qu’elle avait été. Elle avait toujours été grande, forte et souriante. Mais maintenant… « Mon fils, s’il te plaît, ne laisse pas Lydia… Elle a besoin de quelqu’un pour s’occuper d’elle. Elle n’est pas comme les autres… »

"Mon Fils, Tu Auras une Maison. Mais S'il Te Plaît, Prends Soin de Ta Sœur Malade" : Murmura la Mère

« Mon Fils, Tu Auras une Maison. Mais S’il Te Plaît, Prends Soin de Ta Sœur Malade » : Murmura la Mère

« Écoute-moi, mon fils… » murmura la mère. Chaque mot était une lutte alors que la maladie drainait lentement sa vie. Elle était allongée dans son lit, frêle et émaciée. Grégoire avait du mal à la reconnaître ; elle avait toujours été grande, forte et pleine de vie. Mais maintenant… « Mon fils, s’il te plaît, ne laisse pas Nevaeh… Elle a besoin de quelqu’un pour s’occuper d’elle. Elle n’est pas comme les autres… »

"Non, je ne donne pas un centime à ma mère. C'est son problème à résoudre. Et non, je n'ai pas honte" : Louis partage avec ses amis

« Non, je ne donne pas un centime à ma mère. C’est son problème à résoudre. Et non, je n’ai pas honte » : Louis partage avec ses amis

Après tout, c’est son argent, sa retraite – pourquoi devrais-je savoir combien elle touche ? Un jour au travail, ses amis ont abordé le sujet d’aider leurs parents. Beaucoup d’entre eux avaient encore leurs parents en vie. Selon ses collègues, la plupart les aident, paient leurs factures ou achètent leurs médicaments. Mais Louis n’aide pas du tout ses parents. Je n’ai pas à le faire.

"Mon Fils, Tu Auras une Maison. Mais S'il te Plaît, Prends Soin de ta Sœur Malade" : Murmura la Mère

« Mon Fils, Tu Auras une Maison. Mais S’il te Plaît, Prends Soin de ta Sœur Malade » : Murmura la Mère

« Écoute-moi, mon fils… » murmura la mère. Chaque mot était une lutte alors que la maladie drainait lentement sa vie. Elle était allongée dans son lit, frêle et émaciée. Grégoire avait du mal à la reconnaître ; elle avait toujours été grande, forte et pleine de vie. Mais maintenant… « Mon fils, s’il te plaît, ne laisse pas Nevaeh… Elle a besoin de quelqu’un pour s’occuper d’elle. Elle n’est pas comme les autres… »