« Je suis la Femme de Jacques, et C’est Ma Maison, Alors S’il Vous Plaît, Partez »: Léa Était Enceinte de Huit Mois et Avait Besoin de Calme

Léa était enceinte de huit mois et la dernière chose dont elle avait besoin était du stress. Elle attendait avec impatience une soirée tranquille à la maison, mais sa paix fut brisée lorsque Zoé, sa belle-mère, fit irruption sans prévenir.

  • Je suis la femme de Jacques, et c’est ma maison, alors s’il vous plaît, partez…

  • Jacques a acheté cette maison, j’ai tous les droits d’être ici…

  • Il l’a achetée pendant que nous étions mariés, donc vous ne pouvez pas faire vos propres règles ici. Je peux décider…

« Pour qui te prends-tu pour me dire quoi faire ? » La voix de Zoé résonnait dans le salon, son visage rouge de colère.

Léa prit une profonde inspiration, essayant de rester calme. « Je suis la femme de Jacques, et c’est ma maison, alors s’il vous plaît, partez, » dit-elle fermement, sa main reposant protectrice sur son ventre arrondi.

Zoé ricana. « Jacques a acheté cette maison. J’ai tous les droits d’être ici. »

La patience de Léa s’épuisait. « Il l’a achetée pendant que nous étions mariés, donc vous ne pouvez pas faire vos propres règles ici. Je peux décider qui reste et qui part. »

Les yeux de Zoé se plissèrent. « Tu penses que juste parce que tu portes son enfant, tu peux me donner des ordres ? Je connais Jacques depuis toujours. Tu n’es qu’une nouvelle venue. »

Léa ressentit une pointe de frustration. Elle avait toujours essayé d’être respectueuse envers Zoé, mais la femme plus âgée ne l’avait jamais acceptée. « Je n’essaie pas de vous donner des ordres. J’ai juste besoin de calme et de tranquillité. Le médecin a dit que le stress n’était pas bon pour le bébé. »

Zoé croisa les bras avec défi. « Eh bien, peut-être que tu aurais dû y penser avant d’épouser mon fils. »

Le cœur de Léa se serra. Elle avait espéré que Zoé finirait par l’accepter, mais il semblait que ce jour n’arriverait jamais. « S’il vous plaît, Zoé. Je vous le demande gentiment. Partez. »

Zoé secoua la tête. « Non. Je reste ici. »

Léa sentit les larmes monter à ses yeux. Elle ne voulait pas pleurer devant Zoé, mais le stress devenait trop difficile à supporter. « Très bien, » dit-elle doucement. « Si vous ne partez pas, alors je partirai. »

Elle se tourna et se dirigea vers la porte, attrapant son manteau et ses clés en sortant. En sortant dans l’air frais du soir, elle ressentit une vague de soulagement l’envahir. Au moins, elle pouvait prendre l’air et se vider l’esprit.

Léa conduisit sans but pendant un moment, essayant de se calmer. Elle finit par arriver dans un petit parc où elle allait souvent réfléchir. Elle s’assit sur un banc et prit de profondes inspirations, essayant de calmer son cœur battant.

Au bout d’un moment, son téléphone vibra avec un message de Jacques. « Où es-tu ? Maman a dit que tu avais quitté la maison. »

Léa soupira et tapa une réponse rapide. « J’avais besoin d’air. Je reviens bientôt. »

Jacques l’appela immédiatement. « Léa, que se passe-t-il ? Maman a dit que tu l’avais mise dehors. »

Léa sentit une boule dans sa gorge. « Je ne l’ai pas mise dehors. Je lui ai demandé de partir parce que j’avais besoin de calme et de tranquillité. Elle a refusé, alors je suis partie à la place. »

Jacques resta silencieux un moment. « Je vais lui parler, » dit-il finalement. « Reviens à la maison, d’accord ? »

Léa hocha la tête même s’il ne pouvait pas la voir. « D’accord, » murmura-t-elle.

Quand Léa rentra chez elle, Zoé était partie, mais la tension restait palpable dans l’air. Jacques l’attendait dans le salon.

« Je suis désolé, » dit-il doucement. « J’ai parlé à maman. Elle ne viendra plus sans prévenir. »

Léa hocha la tête, mais elle ne pouvait pas se débarrasser du sentiment d’inquiétude. Elle savait que ce n’était pas la fin de leurs problèmes avec Zoé.

Au fil des jours, Léa essaya de se concentrer sur les préparatifs pour l’arrivée du bébé, mais le stress continuait à peser sur elle. Elle ne pouvait s’empêcher de s’inquiéter de ce qui se passerait lorsque le bébé naîtrait. Est-ce que Zoé essaierait de prendre le contrôle ? L’accepterait-elle un jour comme membre de la famille ?

Les semaines passèrent dans un flou d’appels chez le médecin et de préparatifs pour le bébé. Léa fit de son mieux pour rester calme pour le bien de son enfant à naître, mais la tension avec Zoé ne disparut jamais complètement.

Enfin, le jour arriva où Léa entra en travail. Ce fut un accouchement difficile et Léa était épuisée quand ce fut terminé. Alors qu’elle tenait son nouveau-né dans ses bras, elle ressentit une vague d’amour et de protection.

Mais même dans ce moment de joie, il y avait une ombre d’inquiétude. Elle savait que leurs problèmes avec Zoé étaient loin d’être terminés.